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vendredi 2 février

Maera, visitée par les élus métropolitains

R+M essai maera

Ce 2 février, Michaël Delafosse (Maire de la Ville de Montpellier et Président de Montpellier Méditerranée Métropole), Cyril Meunier (Maire de la Ville de Lattes et Vice Président de Montpellier Méditerranée Métropole) et René Revol (Président de la Régie des Eaux de Montpellier Méditerranée Métropole, Vice-président délégué à la gestion raisonnée écologique et solidaire de l’eau et de l’assainissement et Maire de Grabels) ont visité le chantier de Maera et constaté l'avancement des travaux.


Le projet de modernisation de la station d’épuration des eaux usées MAERA est un projet ambitieux pour la Métropole de Montpellier dans le cadre du PCAETs (Plan Climat Air Énergie Territorial solidaire) et de son engagement fort en faveur de la sobriété. Un projet ambitieux également pour la Régie des eaux qui investit 165 millions d’euros sur 4 ans (2023-2027) et pour le groupement OTV Veolia qui s’est vu attribuer ce contrat de travaux et d’exploitation. La modernisation a pour objectif de diminuer l’empreinte carbone de la station, de produire des énergies renouvelables et de réutiliser les eaux usées, afin de faire de Maera une station vertueuse pour préparer l’avenir, répondre à l’augmentation de la population ; aux nouvelles exigences de protection du milieu naturel dans un contexte de dérèglement
climatique.

Ainsi d’ici à 2027, Maera, la station pivot du système de traitement des eaux usées de la Métropole de Montpellier, située à Lattes, va subir une transformation majeure et emblématique en termes de capacité de traitement et de transition énergétique pour en faire une station véritablement à la pointe des technologies de traitements et de production d’énergies renouvelables. Il s’agit là d’une modernisation d’ampleur au service de la population. L’extension de la capacité de traitement combinée aux améliorations proposées va permettre d’envisager plus sereinement l’avenir et d’offrir un ouvrage mieux intégré dans son environnement en renforçant les dispositifs acoustiques et en réduisant les odeurs par la couverture de tous les ouvrages et la mise en place d’une désodorisation renforcée. De plus, la station devrait réduire de moitié ses émissions nettes de CO2 et l’énergie produite en surplus servira entre autres à alimenter des foyers en gaz et chaleur.