Après près d’un an d’étude, une concertation préalable de la population et une enquête publique, un nouvel arrêté pour MAERA devrait entériner la réalisation de ce traitement qui va permettre d’éliminer les boues sur site (22 000 tonnes par an) et ainsi réduire de plus de 50% la circulation de camions autour du site mais également de produire de la chaleur qui alimentera près de 3 000 logements en chauffage urbain.